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Ici je mange donc je vis
Tu trouveras dans ce blog mes rencontres inspirantes, mes découvertes savoureuses mais aussi mes instants à oublier.

L'étoile bleue n'a pas d'âge car elle renaît en permanence.
Et si tu suis sa lumière, elle peut te guider vers une transition alimentaire durable.

La découverte inspirante : Le projet V Topia

Pour comprendre pourquoi il me semble cohérent de changer les modes de culture de notre nourriture végétale, je préfère porter mon regard sur l’évolution et les possibilités de ravitaillement autour de moi.

La grande distribution est la championne de la vente de fruits et légumes issus de lagriculture « conventionnelle » 😕 

Un mot « parapluie » qui cache des façons de cultiver basées sur la chimie, des semences hybridées, des sols appauvris pour ne pas dire morts, la disparition des insectes, des batraciens, des oiseaux des champs sans parler du taux d’endettement des agriculteurs et des suicides😡


 Ensuite, sur les emballages alimentaires, on trouve le label « Bio »
Parti certainement d’une bonne intention, je vois maintenant en magasin que des haricots verts « frais » proviennent de pays fort éloignés, que des tomates portant ce label, vendues en hiver, sont issus de cultures françaises sous serres chauffées. 
Un maraîcher en bio m’a confirmé que 80 % des semences utilisées sont hybridées, c’est-à-dire génétiquement modifiées et stériles pour mieux correspondre aux attentes des consommateurs. 

👉A ce sujet, je t'invite à t'intéresser aux autres labels tels que Nature et Progrès ou Demeter qui sont beaucoup plus rigoureux au niveau de la certification. Mais ne garantissent pas du tout que le produit final est dépourvu d'ingrédients issus des animaux😞
Enfin pour ce mode de culture, certains intrants chimiques sont tolérés !!! 
Pourtant, des techniques existent pour produire sans engrais au rythme des saisons qui savent nous amener, en adaptation avec notre besoin nutritionnel changeant, légumes, noix, fruits et céréales.

C'est pourquoi j'apprécie le projet Vtopia
 près de Liège. C'est un collectif mené par un agronome qui restaure les lieux sauvages, les haies, s'occupe de l’enrichissement du sol, cultive sur des surfaces plus petites sans intrants ni chimiques ni issus des animaux.

En effet, l’Association Réserve Sauvage (ASPAS) mentionne les conclusions d’une vaste analyse publiée fin mars 2021 dans l’un des journaux du groupe Nature. 

Elle montre que les petites exploitations agricoles – ont tendance à être plus productives – et plus riches en biodiversité. De plus, elles offrent une plus grande diversité de culture. Et c’est ce qui me paraît essentiel aujourd’hui pour restaurer une nutrition optimale.

 Nous pouvons évoluer vers des aliments plus sains. Cela ne dépend que de nous. Par nos achats, que nous pouvons réaliser directement auprès des producteurs, nous pouvons aller dans le bon sens. Et puis OSER changer. 



À titre personnel, c’est en passant d’un panier bio de groupement de producteurs à la visite à un permaculteur que j’ai pu comprendre les différences et les enjeux.

Plus près de chez nous, dans le 04 au cœur du parc naturel du Luberon, j'ai eu l'immense plaisir de rencontrer Bruno Doumaiselle qui est permaculteur et chef cuisinier végane https://www.permaculture-provence.fr/439657505

Partons ensemble à la recherche de la meilleure solution pour une assiette locale

Pour me contacter https://www.facebook.com/lessaveursdeletoilebleue

Et si tu souhaites suivre mon projet en permaculture bio végétalienne dans le 83, c’est ici www.aujardindaugustin.com

Pour en savoir plus sur le standard bio cyclique végétalien www.abv-france.org