Nous avons échangé ensemble le temps d'une CAUSERIE sur un sujet au cours d'une rencontre informelle ou organisée ?
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Causerie et ateliers
VOS TEMOIGNAGES
La conscience évolutive : La protection électromagnétique
Aujourd’hui, nous ne pouvons pas ignorer à quel point nous sommes cerné.es par les ondes artificielles.
Les champs électromagnétiques (CEM) qui permettent les communications sans fil que nous connaissons, ont un impact sur tous les êtres vivants.
Les effets délétères sur l’infime partie de nous-mêmes qu’est la cellule sont démontrés. Parmi lesquels, sont listés les effets géno toxiques, tumeurs, vulnérabilité accrue chez l’enfant, hyper électro sensibilisation, affaiblissement du système immunitaire etc.
L’être humain a pourtant des solutions pour se protéger
Parmi les conseils des experts je note :
. Envisager l’usage des appareils à impact élevé de façon modérée. Au lieu d’utiliser systématiquement une connexion, tu peux demander la recette de cuisine à sa voisine et créer du lien !
· S’éloigner le plus possibles de l’émission des ondes par rapport à ton corps. Oreillettes, téléphone en mode avion la nuit, box sur off...
· Agir au niveau de notre alimentation : riche en antioxydants (en particulier les fruits), notre assiette peut contribuer à protéger nos cellules. Tandis que la consommation d’alcool par exemple viendrait aggraver l’hyperélectrosensibilité. *.
Source : « La pollution électromagnétique » édition Terre vivante
La recette savoureuse : Plat familial complet
Des saucisses végétales ???
Mais ceci ne se dit pas !
Ah oui ? Je partage ici une précision étymologique pour que cette idée recette entre par la GRANDE porte ... de ta cuisine 😂
Les termes « saucisse » et « saucisson » sont dérivés du vieux français sausiche venant du latin salsus signifiant « salé ».
Voici un plat que j'ai bien aimé car une fois placé au four, il cuit tout seul !
Les ingrédients :
3 échalotes, 4 feuilles de chou chinois, 2 fenouils, 1 patate douce moyenne et l’équivalent en courge butternut, le tout coupé en petits tronçons
Je commence par plonger les légumes dans l’eau bouillante salée. Et je préchauffe le four à 180°. Au bout de quelques minutes, je les égoutte.
Puis je verse le tout dans un grand plat allant au four. J’enduis de 3 c à s d’huile d’olives. Et je répartis 3 saucisses fumées végétales (type Weaty) au milieu du plat. Je mélange bien et je rajoute du sel, du poivre, de l’origan, du paprika fumé.
Je râpe le zeste d’un citron impérativement bio et je verse le jus. Je rajoute 2 C à S de concentré de tomates et je verse de l’eau à couvert. Cuisson 40 minutes.
Envie de réaliser cette recette végétalienne ensemble ?
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Des MOTS pas des MAUX : Expressions / Oppression Partie 1
Quand le complément du nom rime avec aberration
La commission européenne semble vouloir interdire aux industriels la mention « LAIT d’amandes, de soja, de riz, de noisettes ou de châtaignes… » sur les emballages.
On raconte aussi qu’il sera interdit aux fabricants d’utiliser les mêmes formats de packaging que ceux dédiés au lait … de vache.
Car cela prêterait à confusion au moment de l’achat !
Ici, on peut effectivement s’appuyer sur l’étymologie du mot ‘lait’.
En effet, du latin lactis, il désigne le liquide produit par les glandes mammaires des femelles mammifères qui est destiné à nourrir leurs bébés. Je remarque que lorsqu’on ne précise pas l’origine, c’est le contexte qui l’indique. En l’absence de contexte, il s’agit généralement de lait de vache.
Mais, j’avais envie de te partager quelques-unes des aberrations lexicales qui nous sont familières. Car enfin vas-tu confondre ta crème de jour avec une crème de marrons !
Tant qu’on y est, va-t-on s’interdire de qualifier une boisson végétale de crémeuse ou onctueuse ? Je ne pourrais donc pas dire que la crème est épaisse ou semi liquide ??? Suis-je en présence de qualificatif de texture « réservé » à un aliment issu d’une femelle inséminée ?
Parce que si je tartine un délicieux beurre...
de cacahuètes, il ne faudra pas chercher les hormones de croissance du beurre issu d’une maman vache !
Ne s’y trouveront pas, non plus, les hormones féminines de la vache (progestérone, œstrogènes) !
Et, attention de ne pas confondre un onctueux beurre de pommes avec le beurre de karité de ton baume à lèvres !
Bref, dans les dénominations des vendeurs de viande d’abattage, ce n’est pas mieux.
Car, si tu confonds la souris d’agneau avec la souris de ton ordinateur, la noix de veau avec le brou de noix.
Et, si pour assaisonner le tout, tu confonds l’huile de vidange avec l’huile de colza, le repas risque d’être assez… indigeste !!!
Et, si on pousse plus loin, on pourra chercher longtemps la mamelle de la poule, allusion au lait de poule que faisait ma grand-mère ainsi que l’arbre où poussent les fruits ...de mer.
Enfin il sera impossible de trouver le cœur d’un bœuf dans une tomate, la dénommée « cœur de bœuf ».
Impossible également de trouver une forme de conscience auprès de ces technocrates qui dépensent un précieux temps à mettre des bâtons dans les roues face au nécessaire changement de nos modes alimentaires !Rendez- vous dans une prochaine infolettre pour visiter d’autres fleurons de l’expression française qui banalisent l’oppression subie par les animaux sentients
Le sujet de la dernière causerie : L’impact sur les ressources
Au cours de mes discussions, J’ai à cœur d’évoquer une différence majeure entre la production des aliments d’origine animale et les cultures nourricières.
Prenons un exemple très simple : 15 000 litres d’eau sont nécessaires pour produire 1KG de bœuf contre 50 litres pour produire 1 KG de lentilles*. On peut également constater cette différence au niveau des aliments que consomment les animaux.
Au-delà de la cruauté et de la mort qu’implique la production des produits issus des animaux, cette prise de conscience des quantités d’eau et de nourriture nécessaires à l’élevage est venue s’ajouter à la possibilité de nourrir plus d’êtres humains si on choisit de sortir les animaux de son assiette.
Se nourrir directement de végétaux apparaît bel et bien comme une solution essentielle face aux enjeux environnementaux.
* Données de la FAO
D’autres sujets de réflexion ?
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La découverte inspirante : L’école de paysage
J’ai eu le plaisir de rencontrer les enseignants et les élèves de l’école nationale supérieure du paysage de Marseille.
Découvrir cette formation de paysagiste concepteur m’a beaucoup intéressée compte tenu de l’importance de la gestion de l’eau et des terres.
Dans ma localité, il s’agit pour les étudiants en Master de prendre en compte les problématiques d’un littoral touristique exposé aux risques de la construction de masse.
Autrement dit, la question essentielle est : favoriser l’urbanisation OU préserver la terre pour la stabiliser et développer les cultures nourricières ?
L’astuce nutritionnelle : le soufre, souffle de vie
Le jour où j’ai découvert l’Observatoire du Réel x, je me suis réjouie d’échanger avec une association qui propose de décrypter les savoirs du vivant.
Depuis, j’ai vraiment plaisir à suivre les interventions scientifiques des participants car ce sont des chercheurs et praticiens qui ont en commun l’intérêt de divulguer leurs recherches. De plus, ce partage est orienté santé naturelle.
A l’écoute des intervenants, je suis tombée sur un élément chimique, connu depuis 4 000 ans et indispensable à notre corps : le soufre.
Je constate à quel point l’information ne circule pas sur le rôle incontournable qu’il joue dans tous nos organes. Il contribue à la constitution des globules rouges, régule le foie ainsi que TOUS les métabolismes du corps. Rien que ça !!!
J’apprends que cet élément est gestionnaire de l’eau dans le monde du vivant. Autrement dit, 80% de la constitution des plantes et 65 % de la nôtre. Donc un importance égale à celle du fer. De plus, il entre dans la structure de 2 vitamines du groupe B. Compte tenu de cette importance, je suis assez choquée que le soufre soit si essentiel et ... oublié.
Car l’A.N.S.E.S n’a même pas déterminé les apports conseillés * !!!
Mais où trouver des apports soufrés dans l’alimentation
sans souffrance animale ?
Le soufre est présent dans de nombreux aliments d’origine végétale :
- les alliacées : ail, oignon, échalote, ciboulette, poireau
- les crucifères : choux, navet, radis
- les graines protéiniques : soja, lentilles, haricots secs, lupin, chanvre
Mais aussi - les noix, cacahuètes
- les algues, la levure de bière
- le cacao, thé, café
- les eaux minérales sulfatées : Hépar, Contrex, Courmayeur
Mais attention, il est déconseillé de consommer
certaines formes soufrées :
Dans cette recherche, je note en particulier ceci :
Quels sont les troubles qui apparaissent en cas de carences :
Mais nous savons très bien que
En conclusion, je dirais que :
- Le soufre est présent dans de nombreux aliments d’origine végétale.
- Mais certaines formes sont indésirables pour le corps humain.
- C’est un sujet préoccupant, de mon point de vue, car de nombreux troubles peuvent apparaître en cas de carences.
Et pour terminer ce petit aperçu, je laisserais l'enseignant chercheur, ingénieur en géologie Philippe Perrot Minnot terminer sur ces mots :
"Le soufre est le minéral à l'origine de la vie sur Terre.
Mais l'humanité l'a bêtement méprisé !".
* ce qui ne m’étonne pas de la part de L'AGENCE NATIONALE DU SILENCE ELEMENTAIRE SUR LA SANTE !!!
x https://www.observatoire-reel.com/