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Ici je mange donc je vis
Tu trouveras dans ce blog mes rencontres inspirantes, mes découvertes savoureuses mais aussi mes instants à oublier.

L'étoile bleue n'a pas d'âge car elle renaît en permanence.
Et si tu suis sa lumière, elle peut te guider vers une transition alimentaire durable.

L’idée recette : le porridge à la pomme


Afin d’honorer la fin de la récolte des pommes, ce fruit si bénéfique,
 voici une idée petit déjeuner ou de  collation « spécial confinement » 
c’est-à-dire à ingrédients variables!

Et puis c’est un plaisir de répéter le mantra d’une productrice de Hyères :
 après les pommes, vient la récolte des ..fraises !

Les ingrédients :

200 ml de lait d’amandes ou de chanvre ou de riz
1 c à c de cannelle en poudre ou 4 épices
4 c à s de flocons d’avoine ou de riz ou de millet
Une fois que ce mélange est chauffé je rajoute en tournant mes dès de pommes et je verse dans le bol. 
Puis je rajoute
Quelques copeaux de chocolat ou des baies d’aronia
1 c à s de graines de lin broyées
Et je nappe de gelée de pissenlit ou de pommes ou de sirop d’agave

D'autres idées recettes

letoilebleue3.0@gmail.com

L’instant à oublier : Au secours Ameli !!!


Dans le cadre de mes observations passionnantes autour de la nutrition, je me pose souvent la question suivante : 
Mais qui sont les acteurs qui peuvent répondre à mes questions sur l’alimentation? Et comment avoir accès à une aide afin de se nourrir sainement?
Et dans cette recherche, j’ai eu l’idée de me tourner vers notre sécurité sociale nationale appelée pompeusement « l’Assurance Maladie ».
Issue d’une longue histoire, elle voit véritablement le jour après la seconde guerre mondiale. Cette caisse couvre aujourd’hui 90% de la population de notre pays (maladie, famille, retraite et recouvrement).
Mais alors cher.es ami.es de la causerie, quelle déception !   
Car, en consultant le site dédié,  j’ai eu beau scruter la liste des professionnel.les de santé auxquels je peux faire appel, je n’ai pas vu l’ombre d’un.e professionnel.le de la nutrition.
 Envolée la diététicienne dans les hôpitaux, évaporé le nutritionniste car ce n’est PAS une spécialité médicale ... mais une orientation ! 
Ce ne sont pourtant pas les études scientifiques montrant le lien entre la nutrition et la santé qui manquent !!!

Bref aucune aide de ce côté-là. Il ne me reste plus qu’à me perdre dans la jungle alimentaire*.

Je termine cet instant à oublier « dans la globalité de mon corps tout entier ».        Non pas à l'aide d' Ameli, mais grâce à l’approche des génial.es professeur.es de yoga et des bienveillant.es naturopathes qui m’entourent.

Un dernier détail sur ce chemin sinueux de l’alimentation en conscience : Il est noté dans ce site que « la Sécurité Sociale gère un budget équivalent à celui de l’Etat ».

Sincèrement, vu le nombre de maladies et de souffrances en France, je me demande si ce n’est pas, nous les citoyens conscients, qui devrions secourir Ameli ! ! !
*Allusion à Gilles Lartigot, auteur de « Eat , un fauve dans la jungle  alimentaire"

La récolte des … citrons

De la fleur aux fruits, cet arbre est un enchantement. 
Cette année, nous avons en vu certains citrons arriver à maturité dès la fin janvier. 
Quand ce n’est pas un arbre quatre saisons...

En cuisine, c’est la petite touche d’acide insoupçonnée qui, 
de surcroît, permettra la conservation NATURELLE de la préparation.

La transition alimentaire : manger oui, mais comment ?


Se nourrir n’est pas anodin.
Dans le cadre de mon projet, j’ai le plaisir de rencontrer des personnes
qui se questionnent sur un aliment :       
Est ce bon pour la santé? En quelle quantité faut-il le consommer ? etc. 
Mais la façon de s’alimenter revêt également une importance bien particulière.
Des études d’observations dans divers restaurants ont montré que l’environnement 
exerce une grande influence au moment du repas. 
Ainsi, une musique de fond a modifié l’évaluation des goûts des participants.  
Il a été prouvé que des bruits agaçants accélèrent le rythme du repas.
Certaines couleurs utilisées pour la décoration du resto augmentent l’appétit.
 Et une distinction d’arômes et de textures des préparations a été notée selon la couleur … des récipients !

Autrement dit, l’ambiance et les arts de la table  modifieraient notre perception sensorielle. Ajoutons à cela le facteur social : manger seul ou entouré.e, le temps accordé à la prise alimentaire totale, les pensées qui nous traversent sans oublier la différence entre la faim physique et la faim émotionnelle.

Aujourd’hui, je suis heureuse d’aborder désormais l’alimentation en conscience de tous ces facteurs.           

Au regard d’une meilleure connaissance de la merveilleuse succession de réactions chimiques qui s’opèrent en nous quand nous mangeons, je me sens un peu plus « cheval » tout en respectant mon intestin… dans sa grande longueur !

Envie d'une causerie sur les astuces pour un repas serein ?
FB lessaveursdeletoilebleue
letoilebleue3.0@gmail.com

Le sujet de la dernière causerie : les modes de distribution alimentaire


La période de troubles sanitaires et sociaux que nous avons vécue
 (et qui se poursuit) nous a montré notre vulnérabilité et en particulier 
au niveau des approvisionnements en produits alimentaires.


Dans cette discussion, j’aborde  les réseaux solidaires en circuits courts 
qui ne sont pas des inventions nouvelles ! 
Ils ont la particularité de supprimer les intermédiaires.       
Plus que jamais passons du caddy au cageot !

Le produit du mois : le café d’épeautre torréfié


Quand j’ai appris que boire du café avait une influence sur le métabolisme de mon organisme (acidifiant) et sur la fonction de mon pancréas (hyperglycémiant), 
je me suis posée calmement !

 Quoi donc, cette habitude ancrée du matin ou associée à la convivialité autour d’un café a un impact déstabilisant sur ma biochimie intérieure !
 Ce qui signifie que, après avoir intégré cette boisson chaude, mon organisme va chercher des solutions pour équilibrer ses balances…

Cette prise de conscience a été un choc de plus qui m’a poussée à sortir d’une autre zone de confort. Comment envisager de faire sans café ? Puis après méditation, bon sens et informations complémentaires, je me suis dit : et après ? Si je supprime le café le matin ou dans la journée, que va-t-il –il se passer ? 

Après tout, le têtard silencieux devient bien une grenouille coassante !

Eh bien les ami.es, il ne s’est rien passé de visiblement ... différent !!!
Mais voici ce qui a changé :
  •       J’ai choisi un mug d’une autre forme pour ma boisson chaude du matin et j’ai aménagé mes étagères de cuisine autrement !
  •        Je n’ai plus ressenti la faim en fin de mâtinée
  •       J’ai allégé mon budget de l’achat régulier d’un produit alimentaire très souvent sur emballé
  •         J’ai réalisé que le café provient forcément d’une culture hors continent européen

-       Et puis j’ai saisi que le café torréfié c’est-à-dire « brûlé » est un aliment cuit et donc qu’il s’agit d’un aliment « mort » contenant pas mal de substances issues de la glycation.

Mais voici que je découvre une alternative cultivée dans le 04 : le café d’épeautre.
 Un breuvage ancien saveur noisette qui « sent » réellement le café et se comporte dans la tasse comme un café soluble. 
Et, devine quoi ??? C’est une bombe nutritionnelle : vitamines A, E, et du groupe B, source de fer, potassium, phosphore et magnésium, sans parler des fibres.

L’épeautre torréfié
Pot de 50 gr Prix : 5,99 €
Marque Aromandise (34)
Trouvé au magasin Mybioshop Sanary sur mer
Du lundi au Samedi 9 h-19 h 30 Non Stop et dimanche de 9 à 13 h
Mention spéciale pour ce commerce qui a assuré le ravitaillement 
presque comme à son habitude pendant le confinement.