Le
17 mars 2020
Cher ami.e de
la Causerie bonsoir,
Et désolée par
avance pour la longueur de ce texte.
Nous
voilà donc confiné.es, sommé.es de cesser toute activité non-essentielle,
rester chez nous et ce dans le but de faire face à la contamination d’un virus.
Le Président de la république nous parle de « situation de guerre ».
Mais si, ensemble, nous transformions ce moment en espace transitoire de paix ? Oui, oui il est toujours
possible d’utiliser une communication non-violente. Notons que le président
actuel a un métier initial ; il est banquier et il semblerait que la
réalité de l’analyse de la situation nécessite de nombreuses expertises. De ce fait, réunir des scientifiques, des
spécialistes des épidémies et des dirigeants formés à la gestion d’un état
n’apporte peut-être pas toutes les explications.
Alors voici des éclairages inspirés de la petite étoile bienveillante qui
brille dans votre ciel bleu intérieur. Posez-vous un instant, portez un regard
sur cette analyse issue d’autres recherches et partagez si le cœur vous en dit.
Comme beaucoup de personnes le
pressentaient, nous atteignons un point
de bascule. Bascule de quoi ? Souvenez-vous d’Astérix et des Romains
qui croyaient que la terre était plate comme une pizza et imaginez le désarroi
des navigateurs une fois arrivés à la ligne d’horizon ! La panique, le
saut vers l’inconnu… Nous sommes dans la même situation. Car nous basculons
vers un nouveau paradigme. Un quoi ? Un
paradigme, c’est une vision d’ensemble, du monde et des choses. Il repose
sur des expériences, des croyances qui influencent la façon dont nous percevons
la réalité.
Bon plus simplement, le paradigme 1.0, c’était la vision
suivante : je vois un objet face à moi. Je peux déplacer cet objet mais je
dois bouger avec lui. Je n’ai pas les yeux de la mouche donc je dois me tourner
s’il est dans mon dos et je n’ai pas les yeux du chat donc dès qu’il fait nuit,
je n’ai plus la capacité visuelle de voir l’objet. Mais voilà qu’arrive le paradigme 2.0 et là on invente l’électricité puis rapidement traverse l’ère
industrielle qui nous amène à l’ère virtuelle où nous pouvons voir, entendre
une personne à distance, recevoir un objet du bout du monde, soigner par des
robots téléguidés, avoir la vision d’un hologramme.
Et puis nous arrivons au paradigme suivant : il inclut
la matière (ce que nous voyons) mais celle-ci n’est pas inerte, car la physique
quantique nous démontre que tout est énergie.
Il est très difficile d’intégrer une fois de plus ce que
nous « ne voyons pas » mais que de plus en plus de personnes
perçoivent. Et c’est à ce point de bascule
que nous nous trouvons. Car pendant que la technologie accompagne nos actes
quotidiens, nos besoins essentiels de personnes humaines ont été oubliés. Nous
avons effacé notre nécessaire connexion au Vivant. Pourquoi avons-nous
« oublié » que nous
appartenons au règne animal ? Et, si le fameux (ou fumeux) système
économique n’était plus adapté ?
Reprenons le court historique de la pandémie telle qu’il est exposé dans
les médias : elle apparaît en Chine, un des pays le plus pollué où nous
voyons régulièrement des êtres humains se déplacer avec des masques et souffrir
d’affections respiratoires. En son commencement, rien ne prouve que l’épidémie est
véhiculée par une transmission avec un autre animal. Mais il faut bien un coupable, n’est-ce pas ? Ce virus a pour
symptômes de la fièvre, fatigue, toux plutôt sèche, incube 14 jours en moyenne
et peut contaminer une personne sur deux. Chez un individu bien portant, cela
ressemblera à une petite grippe ou une rhino-pharyngite. Mais c’est quoi un
individu bien portant ?
Voici
les facteurs réels qui
développent cette pandémie. Je souhaite, de tout cœur, que chaque personne
humaine prenne un temps de méditation pour passer en revue ces facteurs. Car
nous sommes tous et toutes uniques et le point de bascule a lieu lorsque la capacité
adaptative de l’individu a atteint ses limites. C’est alors nous touchons les limites du Vivant qui sont en nous. Il est peut-être temps de réfléchir en bonne intelligence (du latin intelligere qui signifie savoir
comprendre) que des morts humaines peuvent être évitées ainsi que de nombreuses
souffrances autour des pathologies que nous côtoyons telles que les cancers,
accidents cardiovasculaires, lithiases, ostéoporose, endométriose, et autres
maladies autos immunes que le diable lui-même n’aurait pas pu imaginer !
- L’intoxication de l’air : dès l’instant où l’activité
économique a cessé en Chine, le nombre de personnes contaminées a baissé et les
photos de l’atmosphère dans cette zone ont montré la baisse des nuages toxiques.
Que savons-nous de la qualité réelle de l’air que nous respirons ?
- L’intoxication de l’eau : sur nos factures, l’eau que nous
buvons est garantie sans bactéries au prix d’une dose de chlore que notre
organisme a du mal à filtrer. Mais avons-nous des précisions sur les autres
aspects tels que les résidus médicamenteux, hormonaux, de pesticides et autres
métaux lourds dont nos organes d’élimination ne savent pas se
débarrasser ?
- L’intoxication alimentaire : se nourrir de nos jours est très
risqué. Une substance mutagène, ça vous parle ? Le patrimoine génétique de
l’individu qui absorbe ce produit peut se modifier. Un produit cancérigène,
c’est quoi ? Une substance qui va favoriser le dysfonctionnement
cellulaire dans un organisme. Un perturbateur endocrinien, c’est quoi ?
Une substance qui va donner des contre-ordres aux glandes. Quel
programme ! Ceci est un aperçu des
effets sur le Vivant des pesticides répandus sur les aliments. Vous vous
sentez confiné.es, pensez aux autres animaux enfermés dans des cages pour exploiter
leur chair ou leurs sécrétions. Les doses d’antibiotiques qu’ils reçoivent sont
massives. Pensez-vous qu’ils est vraiment sérieux de continuer à massacrer tous
ces êtres vivants sensibles quand se nourrir des produits de la Terre
amène un excellent état de santé ?
- L’intoxication électromagnétique : nous sommes des poussières
d’étoiles, car nos corps sont constitués des éléments chimiques. Et nous
émettons nos propres vibrations énergétiques dites naturelles. La technologie
nous a propulsé.es dans un environnement d’ondes artificielles qui provoquent des
dégâts sur nos cellules. Que savons-nous de cette invasion, encore une fois,
invisible à nos yeux ?
- L’intoxication émotionnelle : nos ressentis conditionnent nos
états de santé physique. Comment nous sentons-nous face au stress ? Toujours
très mal et raviver des peurs ancestrales de manque, de traumatismes de pénurie
ne fait que générer des comportements de panique et contribue à détruire une
bonne quantité de nos défenses immunitaires.
Maintenant
que j’ai listé ces 5 groupes de facteurs, je voudrais évoquer un théorème. Non,
ce n’est pas une approche mathématique mais celle inspirée de la sociologie. Il
s’agit du théorème du lampadaire. Le
voici : je suis dans la rue, j’ai perdu mes clés. Je suis dans la rue, il
fait nuit et j’ai perdu mes clés. Mais voilà un lampadaire allumé. Que vais-je
faire ? Je vais chercher mes clés sous ce lampadaire, seul lieu éclairé.
Logique, non ?
Mais quelle est la probabilité pour que mes clés soient
tombées là, sous ce lampadaire ??? Le focus est mis sur le virus et on
distille la peur. Des moyens colossaux
sont mis en place comme pour une guerre bactériologique. De cette manière, le
système économique non-éthique et les autres facteurs restent dans
l’ombre. Appliqué à la situation, quelle
est la probabilité pour que je sois atteint.e par ce virus, en supposant que je
ne sois pas déjà immunisé.e ?
Eh
bien, cela ne dépend que de notre propre
individualité ! Il n’y a plus de différence d’âge, de niveau social,
de sexe, ou de couleur de peau mais une
même humanité réunie autour de ses besoins
essentiels. Réexaminons ensemble les solutions pour améliorer la qualité de
l’air, de l’eau, de l’alimentation et protégeons-nous des rayonnements
artificiels. Oui, nous passons du monde
visible au monde invisible.
Observons
également que l’épidémie a démarré dans la zone où la 5 G a été mise en place
en premier. Et si le détonateur principal était là ? Car, de nombreux
spécialistes prouvent que ce dispositif aurait un impact désastreux sans précédent sur les cellules du Vivant. Dans ce cas, il serait urgent de réagir
autrement. Il serait alors souhaitable d’éteindre le lampadaire « guerre
bactériologique », et d’allumer dans nos cœurs l’éveil de conscience au
sujet de la Terre mère qui, même
épuisée de ses ressources à cause de nos activités, vidée de nombreuses espèces
végétales et animales, continue à nous envoyer des signes. Des signes que nous persistons à perdre le bon sens. Ce serait alors une catastrophe de développer
un vaccin. Et, ce virus ne serait donc pas la cause de ce désordre, ne serait
pas à lui seul responsable mais bien une des conséquences de notre inconscience...
Or nous avons, en nous, l’immense pouvoir de réaliser les changements que nous souhaitons
voir dans notre propre monde intérieur… et extérieur. Ce nouveau paradigme
s’annonce enrichi de chacun de nos potentiels car il laisse tomber l’égoïsme
pour adopter l’altruisme, le partage, la
sincérité, l’entraide et l’amour.
Nous
avons tout à créer et toutes les clés de cette
résilience sont à notre disposition.
Car
une chose est certaine, après le chaos vient toujours … la renaissance.
Bienvenue
dans le nouveau paradigme.
Je vous souhaite une douce transition.
Je vous souhaite une douce transition.
Gabrielle