L’instant à oublier : Sortons les nanos de nos assiettes !!!

Je tiens à revenir brièvement sur un sujet que j’avais déjà abordé : les additifs alimentaires.    Et détailler la problématique des nanoparticules dans les aliments… qui se trouvent aussi dans d’autres secteurs comme les cosmétiques ou les médicaments.

Ces ingrédients sont contenus dans les préparations industrielles. 

Pour rappel, comme tous les additifs, ils sont purement des « auxiliaires technologiques ». 

Autrement dit, ils n’apportent rien du point de vue nutritif mais ont pour but de rendre le produit final...donc ce que tu vas avaler… plus attractif ou stabilisé (comme ils disent !)  au niveau texture, couleur par exemple. 

Or si je lis l’analyse de l’association Agir pour l’environnement, L’A.N.S.E.S. (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire et de l’Alimentation) reconnaît elle-même que ces substances ne sont pas    correctement évaluées !  Traduction:  L’A.N.S.E.S (que je rebaptise l’Armoire à Non Sens Sanitaire !*), cautionne la mise sur le marché 

des substances dont nous ne savons RIEN !!!                                  

Aucune analyse ne précise leur niveau de toxicité.

Pourtant, la commune des mortelles que je suis, peut          

réunir les infos suivantes :

Þ il s’agit de particules de matière plus petites que nos cellules.

Þ Elles ont la capacité de tromper la barrière protectrice du cerveau.

Þ Provoquent des atteintes au système nerveux central.

Þ Déstabilisent le microbiote intestinal et perturbent l’immunité.

Þ Se trouvent aussi dans les emballages et sont difficiles à repérer (ex : E551 et E171)

Appétissants les nanos, non ???

De plus, les effets sur l’environnement sont reconnus :  ils favorisent la mortalité des organismes aquatiques et terrestres,  inhibent leur croissance et leur reproduction.

Sympa pour la nature les nanos,  non?

Sans oublier la persistance de ses substances dans des produits destinés aux enfants : confiseries, laits infantiles, viennoiseries, glaces, céréales du matin. 

Alors, face à l’inertie et au non sens, une seule logique (et c’est la même pour les produits issus de l’exploitation des animaux) :   comprendre que les industriels s’en tiennent à leur chiffre d’affaires ah ah ! Et si nous n’achetons PLUS ces produits ultra transformés, ils ne seront PLUS fabriqués et ces substances ne seront PLUS       répandues dans les organismes….

*que je nomme ainsi pour ne pas aborder les nombreux conflits d’intérêts entre les membres de l’agence et les grands groupes agroalimentaires !

 Se nourrir autrement…

S’adapter aux offres du marketing alimentaire… On en parle ?

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