Au cours de mes discussions, en particulier au sujet de la production des aliments d’origine animale, il m’arrive d’évoquer des études très récentes.
Elles sont réalisées par des observateurs animaliers (éthologues), biologistes ou neuroscientifiques cognitifs (spécialistes du comportement).
Et montrent à quel point les êtres sensibles, qui appartiennent à une autre espèce que la nôtre, sont capables de coopération, d’entraide, de jeux, de reconnaissance faciale humaine, d’apprentissage, de sensibilité à la justice ou à la compassion, de câlins après le combat, etc.
Ces observations nous montrent, une fois de plus, que les animaux éprouvent des émotions et nous amènent à reconsidérer le regard que nous leur portons.