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Ici je mange donc je vis
Tu trouveras dans ce blog mes rencontres inspirantes, mes découvertes savoureuses mais aussi mes instants à oublier.

L'étoile bleue n'a pas d'âge car elle renaît en permanence.
Et si tu suis sa lumière, elle peut te guider vers une transition alimentaire durable.

Des MOTS pas des MAUX : spécisme/espèce

 Si certains ont rêvé d’avoir un lion dans un appartement, d’autres présument fortement qu’accuser un individu de spéciste devienne une insulte !!!

Mais que signifie ce nouveau mot que je trouve ce jour dans le Larousse et le Robert ?

Le spécisme se définit comme le fait de discriminer ou de traiter différemment un individu selon le seul critère de son appartenance à une espèce.


A l’origine c’est un mot dérivé de l’anglais species qui signifie espèce. Un terme inventé par Richard Ryder, psychologue engagé contre les expérimentations réalisées sur les animaux non humains. Nous étions en 1977 !

Ce qui permet un postulat inverse appelé l’antispécisme. Autrement dit, on considère que ce critère de l’espèce ne définit plus une hiérarchie entre les espèces animales… TOUTES les espèces y compris celles qui sont considérées comme « mangeables ». Parce que tout simplement il n’y a pas de logique. Pourquoi continuer à transmettre qu’il y a une différence entre un veau, un chiot et un agneau?

Nous disposons de nombreuses études sur les intelligences animales et la conduction chez ces êtres vivants de la douleur et du plaisir, égale en intensité aux humains.

Mais que peut bien exprimer le véganisme? 

Il est vrai que la mention  « Végan » sur un produit alimentaire prête à confusion. Car le véganisme se présente comme un boycott, un refus d’utiliser les animaux pour se nourrir (végétalisme) mais aussi pour se vêtir et se chausser (cuir, fourrure, laine), se distraire (zoo, delphinarium, corrida) ou expérimenter des médicaments (vivisection). 

Il s’agit donc ici d’un choix d’un mode de consommation… qui peut être la conséquence de la pensée antispéciste.

 Alors quelle différence ?

On peut rajouter ici que le véganisme peut être un cheminement qui consiste autant que faire se peut à réduire les nuisance à autrui dans ses actes.


 
Et l’antispécisme serait un courant de pensée par lequel nous ne sommes pas l’espèce dominante (anthropocentrisme) mais bel et bien une espèce parmi tant d’autres êtres appartenant au règne animal (biocentrisme).

Se nourrir sans cruauté

On en parle ?

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